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Out of Namibia

Que vous soyez un sportif dans l’âme, rêvant de randonnées dans les montagnes ou d’excursions en quad dans le désert, ou un rêveur aspirant à se prélasser devant les plus beaux paysages du monde, ou même un passionné de l’Afrique, fasciné par cette terre des premiers peuples et des premières tribus, un safari en Namibie ne peut que vous couper le souffle. Nous le savons : nous l’avons fait pour vous.

De Sossusvlei à Etosha en passant par le Damaraland, départ pour un circuit luxe et aventure sur cette terre d’Afrique qui, contrairement à ce qu’indique son étymologie, n’est pas la « zone où il n’y a rien » annoncée, mais s’avère plutôt un lieu où, à défaut de trouver tout, on se retrouve soi-même.

Une histoire vieille comme le monde

namibieAncien Sud-Ouest Africain devenu Namibie en 1968, colonisé par l’Allemagne puis par l’Afrique du Sud, le pays n’a accédé à l’indépendance qu’en 1990. En pleine Afrique Australe, il est bordé par l’Angola et la Zambie au nord, le Bostwana à, l’Afrique du Sud au sud et l’océan Atlantique à l’ouest. Malgré sa grande superficie, la Namibie, c’est le second pays le moins densément peuplé du monde, caractéristique expliquée par le fait que les déserts Kalahari (à l’est) et Namib (à l’ouest), de surcroît séparés par un haut plateau situé à une altitude moyenne de 1000m, couvrent les deux tiers du territoire national. Cela qui n’empêche pas une grande diversité des paysages, ainsi que de la faune et la flore, qui permettent au pays d’être considéré comme l’un des plus beaux du monde.

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Little Kulala lodge.

La légende veut que l’aube et le crépuscule d’Afrique soient les plus beaux du monde. Nous la confirmons volontiers dès notre arrivée à l’aéroport de Windhoek, capitale du pays, dont nous foulons le tarmac sous une chaleur sèche et un ciel d’un rose presque irréel.
C’est ici que commence notre circuit. Fondée en 1837 par le capitaine Afrikaner Nama Jonker, à l’emplacement d’une source chaude, elle fut baptisée « le coin venteux », d’où son appellation actuelle du mot afrikaans Wind Hoek. Le passage du pays sous mandat sud-africain au lendemain de la seconde guerre mondiale, ouvrit malheureusement la ville à l’apartheid, qui allait marquer durablement la physionomie de la ville, le centre-ville se voyant réservé aux Blancs, auquel les Noirs n’avaient accès que pour travailler. Cette époque se prolonge aujourd’hui à travers l’architecture coloniale des édifices et des magasins de ce qui est devenu le centre économique et administratif national. Propreté et calme sont deux termes très appropriés pour décrire cette ville qui va à l’encontre des stéréotypes dont sont souvent affublées les villes africaines. Ce sont effectivement les premiers mots qui viennent à l’esprit durant notre balade sur Independance Avenue, l’artère principale de la ville. Un passage obligé pour le touriste, que ce soit pour admirer des Namibiens danser et chanter au rythme des musiques africaines dans le parc accolé à l’avenue, ou pour dévaliser les multiples boutiques qui vous obligeront à acheter une valise supplémentaire pour le retour. L’époque coloniale oubliée, Noirs et Blancs travaillent aujourd’hui ensemble dans un bel esprit de fraternité et nous offrent un accueil chaleureux pour notre premier déjeuner en Namibie, que nous prenons à l’Hôtel Heinitzburg, première étape avant de nous envoler vers les grands espaces namibiens au petit matin. Impossible de ne pas apprécier la beauté de ce château perché en haut d’une colline, dont la terrasse – où nous prendrons le petit déjeuner avant le départ – offre une vue imprenable sur Windhoek et les montagnes environnantes. Ni la qualité de son accueil, de sa cuisine, et l’originalité de sa cave, enterrée sous le donjon.

Première étape : Sossusvlei

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Après une première demi-journée d’acclimatation et de farniente, les choses sérieuses commencent au matin du deuxième jour. Nous quittons la cuvette de Windhoek à bord d’un Cessna de la compagnie privée Wilderness Safaris à destination du désert du Namib, « vaste pleine aride où il n’y presque rien » en langage nama. Long de 2000 km et large d’une centaine, et souvent considéré comme le plus vieux désert du monde, celui-ci, qui se situe dans la région de Sossusvlei au sud-ouest de la Namibie, est soumis à des conditions arides depuis au moins 55 millions d’années. Nous y atterrissons après une heure et demie de vol pour connaître notre premier choc visuel : impossible de détacher nos yeux de cette étendue de sable rouge orangé qui semble ne jamais se terminer, ni des courbes magnifiques qui dessinent les dunes. Ici commence vraiment notre expédition namibienne avec Wilderness Safaris. Tout sourire, notre guide nous accueille pour nous emmener au Little Kulala Lodge. Ici l’atmosphère se fait plus décontractée – plus africaine : chaque membre de l’équipe se présente à nous et nous appelle par notre prénom, et l’on a rapidement l’impression de connaître tout le monde. Une rapide présentation des lieux nous met immédiatement dans l’ambiance : environnement inhabituel, presque surnaturel, décoration de goût. Tandis qu’un léger vent sec nous enveloppe, une odeur de sable chaud et de terre aride arrive jusqu’à nous. Les repères sont vite pris et l’on s’accapare rapidement les lieux, sensibles déjà à l’atmosphère particulière de l’Afrique australe, que l’on savoure à fleur de peau autant que du regard. Moments magiques. Mais incomplets. Tout à notre émerveillement, nous avons oublié une dimension incomparable du voyage, qui se rappelle à nous alors que nous gagnons la terrasse face au désert. A quelques dizaines de mètres de nous, deux antilopes se désaltèrent à un point d’eau creusé tout spécialement devant le lodge. Nos appareils crépitent et immortalisent cette première scène aux couleurs orangées.
L’hébergement se fait dans de luxueuses villas dotées de piscines privées et de grandes terrasses extérieures qui nous permettent d’admirer le panorama. Jamais l’expression « chambre avec vue » ne namibiedoit avoir été plus méritée. A une bonne centaine de mètres, quelques chacals en balade se tournent vers nous sans prendre la fuite et nous donnent l’impression que nous partageons leur territoire autant qu’ils partagent le nôtre. Notre mémoire convoque le souvenir d’Out of Africa et l’on se trouve dans une drôle de disposition, entre exacerbation des sens et indolence. Cette première soirée au milieu du désert porte la promesse de sensations inconnues. On la pressent, on la ressent, et l’on ne sera pas déçus : l’organisateur Wilderness Safaris a tout prévu pour émailler ses circuits de surprises en tous genres, de l’apéritif pris en haut d’une dune au coucher du soleil à la découverte en quad des paysages édifiants de grandes étendues désertiques en passant par le cours d’astrologie nocturne, les yeux rivés sur un ciel que l’on ne verra jamais aussi bien que d’ici. Apothéose de cette palette d’activités et d’attentions : la nuit sous les étoiles, dans un lit préparé sur le toit de votre villa, et l’expérience extraordinaire de s’endormir sous une voûte céleste d’une netteté jamais vue pour se réveiller avec le désert pour seul horizon. Magique.

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Petit déjeuner au pied des dunes avec les organisateurs des vols en montgolfière.

Il serait dommage de quitter la région sans avoir fait l’expérience de flotter au-dessus du désert au lever du soleil. Expérience inoubliable que cet envol à bord d’une montgolfière, sans bruit ni secousse, pour survoler les plus hautes dunes du monde avant de se poser au pied de l’une d’entre elles pour un petit-déjeuner au champagne. Moment magique encore. Un adjectif généralement utilisé au sens figuré, mais que le désert namibien pratique également au sens propre avec ses fairy circles, littéralement cercles de fées, sortes de petites zones circulaires vierges de toute végétation dont l’existence demeure inexpliquée.

Deuxième étape : Damaraland

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Cessna pour les transferts de camp à camp.

Après deux nuits dans le désert, nous nous envolons pour Damaraland, région dotée d’un grand capital culturel, créée en 1970 pour préserver les réserves tribales de l’ethnie des Damara avant d’être réintégrée à la Namibie en 1989. Une occasion rare de découvrir ce pays surprenant. Nous voici au-dessus du désert côtier, dont les dunes plongent dans l’océan Atlantique d’une hauteur qui peut atteindre huit cent mètres, la tête collée au hublot à la recherche des bancs d’otaries qui se prélassent sur les plages.

Puis nous survolons les multiples stations balnéaires qui bordent la côte namibienne, avant de poser enfin nos pieds dans un tout autre paysage. C’est désormais l’équipe du Damaraland Camp qui nous prend en charge, avec la même bonne humeur, dans un environnement aride et sauvage où nos regards se posent alternativement sur les troupeaux de moutons et de brebis qui font peu de cas des voitures circulant sur la piste, les autruches qui déambulent au loin et les chaînes de montagnes infinies qui semblent, pour certaines, avoir été sculptées par l’homme tant leur dessin est régulier. Pour deux nuits nous avons rendez-vous avec la nature. Nous voici complètement coupés du monde, dans un univers où les fermiers sont rois et où vaches et ânes paissent librement devant les tentes du Damaraland Camp. Ici, c’est le retour au basique assuré, pas de téléphone ni d’Internet, mais aussi encore et toujours une grande qualité de service et une disponibilité irréprochable. Nous profitons de notre séjour dans une ambiance familiale, autour de déjeuners et de dîners très conviviaux, cette fois encore agrémentés des surprises imaginées par l’équipe de Wilderness Safaris.namibie
Au programme du premier jour : rencontrer les rhinocéros noirs et les éléphants du désert. Interprétant les traces laissées au sol par un troupeau d’éléphants, notre pisteur nous amène finalement à quelques mètres de lui après deux heures de filature. Des femelles et leurs bébés marchent paisiblement d’un arbre à un autre à la recherche d’un peu d’ombre, les adultes attrapant savamment quelques feuilles aux branches basses. Nous aimerions poser le pied à terre et les approcher de plus près, mais l’arrivée d’une femelle acariâtre s’interposant entre notre véhicule et les éléphanteaux a vite fait de nous faire comprendre que notre intérêt est de rester tranquilles dans la voiture. Les éléphants se sont parfaitement adaptés au climat aride de la Namibie, où ils ont su évoluer et se distinguer de leurs congénères des régions plus humides.

namibieWilderness Safaris ne nous laisserait pas repartir sans nous donner l’occasion de rencontrer les tribus locales, dans lesquelles de jeunes garçons vêtus d’une simple jupe de peau et âgés d’une quinzaine d’années, accourent vers nous pour nous expliquer leurs coutumes et leurs techniques de survie dans un anglais parfait.

Avant de reprendre l’avion nous passons par Twyfelfontein, célèbre site archéologique riche d’une concentration importante de pétroglyphes peints par les Bushmen, les premiers habitants de la Namibie. Des gravures remarquablement bien conservées y représentent des animaux aisément reconnaissables. On estime leur âge entre 5 et 6 000 ans, les plus anciens 10 000 ans. Non loin de là le site des tuyaux d’orgue (Organ Pipes) offre l’occasion d’une photo originale à côté de spectaculaires formations géologiques verticales sculptées par l’érosion.

Troisième étape : Etosha

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Lions dans le parc d’Etosha.

Bien que la fin de notre circuit approche, nous n’avons pas fini d’être surpris. Nous nous envolons pour l’ouest, direction le célèbre parc national d’Etosha, qui occupe une superficie de plus de 20 000 km2 à 400 km au nord de Windhoek. Au fur et à mesure que l’on s’approche les paysages s’aplanissent et le climat se fait plus chaud et sec. Ici les amateurs de safaris et d’animaux trouvent leur bonheur. Le parc regroupe plus de 114 espèces de mammifères, 100 de reptiles et plus de 340 d’oiseaux. L’arrivée au Ongava Lodge laisse le visiteur bouche-bée. Dépaysement total. Contemplation. Admiration. Un décor à couper le souffle, parfaitement intégré dans le paysage. L’architecture et la décoration, mélange de mobiliers africain et contemporain, ravissent le regard. Dans nos lodges privatifs où luxe, confort et service sont conjugués à un niveau incroyable dans ce camp du bout du monde, la beauté des lieux fait ressortir tout le charme de l’Afrique.
En fin de journée nous partons pour un safari au coucher du soleil, les yeux perdus sur le paysage qui s’offre à nous, attentifs au moindre bruit ou mouvement des feuilles et des hautes herbes qui peuvent cacher des mammifères dont l’intelligence et l’instinct surprennent toujours. Ce pourrait être des singes disputant une partie de cache-cache devant nous, ou avec de la chance le roi de la savane. Un énorme nid d’oiseaux perché dans un arbre nous interpelle. Un saut en dehors du 4×4 nous permet de l’approcher et de découvrir de près cet espace collectif qui, nous l’apprenons, sert à des générations successives, caractéristique qui vaut à cette espèce de passereaux le nom de Républicain Social. Plus loin, des oryx se déplacent nonchalamment, puis des antilopes, des zèbres, des gnous, jusqu’à ce qu’un rugissement namibieéloigné annonce l’ouverture de la chasse des fauves. La nuit tombant, notre première sortie dans le bush s’arrête là.

Un parfum nocturne fait de senteurs de végétation sèches et d’effluves d’un air sauvage venant du bush, a envahi le lodge. Un dîner digne d’un Chef étoilé nous attend sous les lumières tamisées de lampes discrètes. Situation peu commune que la dégustation de plats raffinés en restant à l’affut d’un animal arrivant au point d’eau qui s’alanguit sous nos yeux. Nous faisons durer le repas, quelques tasses de café, quelques anecdotes des rangers, quand notre patience se voit récompensée par les arrivées d’une girafe, d’un rhinocéros blanc et de zèbres. Le crépitement de nos appareils troue le la nuit, il faut se faire escorter par du personnel qualifié pour retourner à nos chambres, car des lions peuvent toujours roder.
On se lève tôt le lendemain pour profiter du dernier jour. Chapeaux, appareils photo, caméras et jumelles sont de rigueur pour admirer un magnifique lever de soleil à travers les quelques arbres où l’on aperçoit l’ombre d’une girafe qui prend son petit déjeuner. Plus loin, un rhinocéros nous fait face. Pas de panique, il semblerait que nous ne l’intéressions pas, mais mieux vaut tout de même ne pas l’agacer et ne pas s’attarder. Le Land Rover poursuit sa route chaotique et notre guide stoppe net à la vue d’une lionne namibietapie dans le bush. Sa tête visible juste au-dessus des herbes, elle nous regarde… Bon, là encore nous ne mettons pas le pied à terre. Plus loin encore, notre chauffeur s’immobilise en plein milieu du chemin, provoquant un regain immédiat d’attention.
Pourtant, pas un animal en vue… Notre guide nous invite alors à tourner notre regard vers le sol caillouteux. Nous ravalons un cri : un cobra est dressé devant nous. Il est heureusement hors de portée et, soyons honnêtes, ce n’est pas non plus un gros gabarit. Mais quand on sait que sa morsure est mortelle, fuyons ! Nous reprenons notre route vers un point d’eau important, où un véritable zoo s’offre à nous. Zèbres, koudous, bubales, gnous et autres herbivores, viennent s’abreuver. Un vieil éléphant s’approche aussi quand une bagarre entre deux impalas diversifie le spectacle.

Notre magnifique circuit se termine ici. Il est loin de nous avoir révélé toutes les surprises que réserve la Namibie, mais laisse le souvenir impérissable de décors extraordinaires et de moments incomparables, celui d’un peuple fier de son pays et soucieux de le faire partager aussi. Une invitation en bonne et due forme à revenir.