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MARILYN … 50 ANS DÉJÀ !

Le 5 août prochain sera marqué par la disparition, il y a 50 ans , de l’icône Marilyn Monroe dans des conditions qui prêtent à polémique encore aujourd’hui.

Suicide ? Accident médical ? Assassinat ? Pour beaucoup le mystère reste complet …

Entre-temps, Andy Warhol, le «Pape» du Pop art en a fait la Mona Lisa du 20ème siècle et son portrait est devenu l’une des œuvres d’art les plus connues au monde.

Monroe, ou la volonté de réussite hors norme de cette femme : Norma Jeane Baker ?

Tout comme le jeune et timide Andrew Warhola a créé Andy Warhol, Norma s’est inventée le personnage de Marilyn dans le but de sortir de l’anonymat et devenir une star de cinéma.

Elle dira à ce sujet « J’ai toujours pensé que je n’étais personne. Et la seule façon pour moi de devenir quelqu’un… et bien c’est d’être quelqu’un d’autre !».

Une Exposition Collective dédiée à la fois la femme et le personnage qu’elle représentait où les artistes se sont exprimés au travers de la peinture, le dessin, la photographie ou encore la sculpture.

«Après 50 ans, quelle image reste-t’il de Marilyn pour vous ?» est la seule indication que nous avons donnée aux artistes sollicités pour ce projet.

Le peintre français François Bard a choisi de traiter l’actrice dans son dernier film «The Misfist» de 1961. En utilisant une capture d’écran extraite de ce film l’artiste a opté pour une Marilyn Monroe vulnérable, mélancolique et déçue par les hommes. Dans cette œuvre elle perd tous ses attributs de star hollywoodienne, sa chevelure blonde, ses lèvres rouges et pulpeuses ainsi que son célèbre grain de beauté, elle redevient Norma Jeane, une femme comme les autres.

L’artiste Kosta Kulundzic est également parti de «The Misfits» pour s’emparer de l’idée de la femme déçue des hommes afin d’en faire une Marilyn «Moderne», certes un peu barbare mais victorieuse de la gente masculine.

Le photographe belge Bruno Timmermans a recréé de manière digitale son portrait idéal à partir de plusieurs clichés existants de l’actrice tout en racontant sa vie à travers des éléments iconographiques «tatoués» sur son visage. A travers cette seule image, il est possible de retracer son ascension en passant par ses conquêtes amoureuses jusqu’à sa descente aux enfers qui finira tragiquement à son domicile par une overdose de barbituriques.

L’artiste Benjamin Spark a préféré représenter «la  chute» de  la  star  avec  son  langage picturale proche du Street Art. La toile représente une Marilyn aguicheuse et sensuelle en robe de soirée mais cernée de pilules, de cachets et de bouteilles d’alcool.

Deux billets à l’effigie de George Washington, dont l’un avec une tête de mort évoquant sans doute le prix qu’a du payer l’actrice pour satisfaire ses rêves de gloire.

Cette remarquable exposition est un bel hommage à l’actrice et plus particulièrement à l’icône qu’elle est devenue et qu’elle continue d’être aujourd’hui 50 ans après sa disparition.

Mazel Galerie – Rue Capitaine Crespel 22 – 1050 – Bruxelles

www.mazelgalerie.com

Marylin ICON62

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