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Les modèles cultes d’Olga Berluti

Andy : le premier modèle créé par Olga Berluti

Alors qu’Olga Berluti apprenait le métier de bottier en 1962, Andy Warhol entre chez Berluti pour la première fois. Bien qu’il fût à l’époque inconnu du grand public, Olga comprit qu’elle avait affaire à un être d’exception.

Contre l’avis du reste de la famille, elle  entreprit de lui réaliser une paire de souliers, récupéra les peaux qu’elle put trouver et réalisa une paire de mocassins d’une modernité inouïe pour l’époque.

Ce fut la première paire de souliers qu’elle réalisa. Elle était parfaite mais la peau avait un défaut : une grosse veine traversait le plateau de l’un des deux souliers. Lorsque le créateur du Pop Art revint chercher ses mocassins l’année suivante, Olga lui expliqua que sa paire n’était pas tout à fait comme les autres parce qu’elle avait choisi le cuir d’une vache transgressive qui aimait se frotter aux fils de fer barbelés.

Andy Warhol comprit que cette particularité conférait à ses souliers un caractère unique, et décréta que dorénavant il ne voudrait plus « que des souliers construits dans la peau de vaches transgressives ».

Près d’un demi-siècle plus tard ce modèle, avant-gardiste en 1962 et si contemporain aujourd’hui, reste le symbole de la créativité visionnaire de la maison.

Escarpin Alessandro

C’est en 1895 qu’Alessandro Berluti imagina le fameux escarpin à lacets. Après lui, chaque génération Berluti l’a revisité et le modèle s’est imperceptiblement transformé au fil du temps. L’esprit, l’exigence et l’élégance des clients Berluti, les ont poussés à sans cesse affiner la forme sans toucher à l’âme du modèle.

Ce soulier exécuté dans une seule pièce de cuir sans couture apparente, a été choisi par une élite parisienne et internationale qui en a fait son signe de reconnaissance, l’appartenance à un club informel.

A travers sa forme pure, avec ses volumes parfaitement équilibrés et sans artifice, ce richelieu trois œillets rassemble sur quelques centimètres carrés de cuir toute la quintessence de la maison, son élégance, sa culture et son esprit. Modèle historique et emblématique, l’escarpin à lacets est le symbole de la maison Berluti et l’expression la plus pure de son style reconnaissable entre tous.

Derby

Précurseur, la maison Berluti a très vite imaginé de détourner l’usage premier de ce soulier. Pour ce faire, d’abord en mesure puis en prêt-à-chausser, chaque génération Berluti a allégé le modèle. Ses lignes sont aujourd’hui stylisées à l’extrême, les détails épurés pour sublimer la forme. Résultat : un soulier à mi-chemin entre le casual sophistiqué et une élégance décontractée. Une élégance universelle qui lui permet de traverser les temps et dépasser les modes.

La sacoche Deux jours

« Depuis sa création en 2005, elle est venue accessoiriser de nombreuses silhouettes masculines à travers le monde. Légère comme un nuage, son allure est très élégante. Combinée au raffinement du cuir, la pureté de ses lignes lui donne une douce modernité et un style intemporel, graphique et poétique. Cette signature emblématique de la maison a donné le jour à la collection Venezia. Le Deux Jours est souple et sensuel.

Il met en lumière tous les ingrédients essentiels à la maison : la beauté et la noblesse du cuir Venezia, la transparence unique des patines profondes comme les laques japonaises et le savoir-faire sellier. A travers cette signature emblématique, la maison offre un objet emprunt de poésie et de romantisme que chaque client peut s’approprier. L’élégance pratique du nomade ».

Le cuir Venezia

Un tannage exclusif permet à la peau de conserver son aspect naturel. Aucune imperfection ne peut être gommée et seules les meilleures peaux passent le ?ltre d’une sélection redoutable. Cette pureté de la peau permet d’obtenir autant de profondeur et de nuances dans les couleurs du cuir. Ce tannage offre aussi une grande souplesse et une sensualité unique. On aime manipuler sa sacoche et la tenir dans la paume de sa main. Une fois le cuir coupé, les sacoches sont réalisées avec toute la rigueur de l’artisan.

Il applique avec maîtrise coutures piquées sellier, bordures à cheval et points d’arrêt. Tout contribue à magni?er la beauté du cuir et le graphisme du sac. La couleur est une passion pour Olga : couleur du temps qui passe, de la mer aux teintes changeantes, re?ets de soleil couchant, rougeoiement de lave en fusion…

Elle imagine la recette pour obtenir des patines aux transparences uniques. Gorgées d’huiles essentielles, les teintes sont lumineuses, boisées, mordorées et profondes comme une laque japonaise. A travers ce travail artisanal, chaque sacoche cultive l’exclusivité et devient
unique par sa couleur.