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Les exclusifs de chez Chanel

Cette distinction, qui rend les femmes inoubliables et les parfums inimitables, est faite de fulgurances, de mystère et d’élégance. Par leur rareté, les exclusifs de Chanel concentrent ce destin à part. Que l’on respire « Bois des iles » ou « Sycomore », le « N°22 » ou « Coromandel », c’est toujours une surprise et, pourtant, le même émerveillement car d’Ernest Beaux à Jacques Polge, court, de flacon en flacon, le fil ininterrompu de cet esprit de perfection, de luxe pur et d’audace où se tisse, hors le temps et les modes, la haute parfumerie Chanel.

 

La pausa

La maison que Gabrielle Chanel fit construire sur un terrain acheté en 1928 au-dessusde Roquebrune. Elégante avec ses colonnades de cloître, et gaie, avec ses volets verts. Vue sur les lointains de la côte italienne. Pour évoquer son luxe et sa simplicité. Jacques Polge a travaillé l’Iris sous toutes ses facettes et dans tous ses contrastes. Terreux et poudré ; radieux et secret.

 

Rue Cambon

L’épicentre de l’univers de Coco Chanel, où s’épousent harmonieusement son besoin d’épure et son goût du baroque. Pour mettre en parfum ces passions contraires, qui sont celles aussi de la Haute Couture, il fallait la forme complexe d’un beau Chypre. Ce merveilleux parfum de peau qui donne à respirer ensemble les mystères de l’élégance et ceux de la sensualité.

 

Beige

« Je me réfugie dans le beige parce que c’est naturel », disait Mademoiselle Chanel. Terre battue, sable mouillé, allant du grège au miel… Elle aimait toutes les nuances de cette couleur qui évoque à la fois la peau et l’élégance. Couleur insaisissable et variable à l’infini, elle cache sous son apparente simplicité une douce volupté qui lentement se déploie, puis prend son essor.

 

Bel respiro

C’est à la campagne que Gabrielle Chanel prit ses premières leçons d’élégance. Bel Respiro, sa maison, illustre bien son art du naturel. Elle l’achète en 1920, à Garches, qui fait alors figure, pour les Parisiens, de paradis bucolique. Pour l’évoquer, Jacques Polge a créé un parfum idéal de fraîcheur et de raffinement, où se mêlent l’herbe brillante, les feuilles froissées et les odeurs de garrigue apportées par la brise.

 

Bois des îles

1926. On se découvre une âme d’explorateur. On danse au Bal Nègre. Les tissus, les bijoux, les poteries ne parlent que d’Afrique. Mademoiselle Chanel et Ernest Beaux invitent aussi au voyage avec Bois des îles. Tout y est : les bois précieux, les fumées opiacées et les grandes fleurs languides. Le parfum est à lui seul un continent mystérieux et lointain.

 

Coromandel

Un oriental nerveux qui, pour se déployer, interrompt son vibrato ambré de notes sèches et s’installe enfin sur un long accord de volupté bien tempérée. Peut-on rêver plus bel accompagnement aux merveilleux paravents de laque chinoise qui tapissaient les appartements de Mademoiselle Chanel et la faisaient ‘’défaillir de bonheur’’ ?

 

Cuir de Russie

Les tumultes de l’histoire russe offrent à Mademoiselle Chanel un amant exquis, le grand duc Dimitri, qui lui présente un parfumeur de génie : Ernest Beaux, né et formé à Moscou. En 1927, elle crée, avec lui, Cuir de Russie. A longues notes fauves et fumées, il évoque un monde sauvage et raffiné, avec ses odeurs de bottes tannées à l’écorce de Bouleau et ses bouffées de tabac blond.

 

Eau de Cologne

Coco mit à la mode le sport et les corps toniques. Dans son catalogue de 1929, elle propose des cosmétiques de plein air et de l’Eau de Cologne, dont on s’aspergeait déjà au 18ème siècle pour se rafraîchir. Avec Jacques Polge, ce ‘’sent bon’’, innocent et voluptueux, retrouve sa place chez Chanel. Avec des Hespéridés et un Néroli d’une qualité si rare qu’il en prend des airs de fleuri léger.

 

Gardenia

Mademoiselle aimait les fleurs blanches, nettes et charnelles. Mais le camélia, son emblème, n’a pas d’odeur. Le Gardénia, en revanche, qui lui ressemble tant, embaume. Gabrielle Chanel et Ernest Beaux l’évoquent magnifiquement, avec ses notes vertes, son cœur crémeux, son sillage plein d’imagination.

 

N°18

18, Place Vendôme. Une adresse prestigieuse, une place que Mademoiselle Chanel marqua de sa présence. Esprit de la Haute Joaillerie, où se renouvellent sous le signe de l’exception les plus beaux bijoux. Echo intime à l’éclat du diamant. N°18 est un parfum à la nouveauté éblouissante. Un parfum saturé de fleur d’Ambrette, une odeur de vagabondage heureux, fidèle dans sa désinvolture à Coco Chanel.

 

N°22

Un fouillis de tulle, une pluie de pétales…Ce parfum, créé en 1922, est une variation aérienne du magistral N°5 lancé l’année précédente par Coco Chanel et Ernest Beaux. Dans sa grâce. N°22 porte aussi l’empreinte de leur audace : les aldéhydes donnent de la force et de l’esprit à cette suite en blanc où s’épanouit la Tubéreuse.

 

Sycomore

En 1930, Mademoiselle rêvait déjà d’un parfum de bois qui s’impose simplement. Ebauchée, et inscrite dans le livre de la Maison, cette histoire restait à écrire par Jacques Polge, avec des mots inventés de frais et de style, éternel et singulier, de Chanel. Voici donc Sycomore, un tronc sec, noble et puissant. Une métaphore cas, de son génie de l’élégance : ce luxueux Vétiver, subtilement faufilé d’épices séduit par sa simplicité aristocratique et laisse derrière lui un long souffle chaud.

 

Jersey

Il fallait oser. A l’aube des années vingt, Mademoiselle Chanel commande à un fabricant médusé des kilomètres d’un tissu réputé inavouable : le jersey. Une matière doublement coupable de se montrer sur le torse des marins et de se cacher sous les complets des citadins frileux. De cette maille juste bonne à habiller le labeur et à tailler des sous-vêtements masculins, elle va faire le glorieux instrument d’une nouvelle élégance et le marqueur d’une absolue féminité. Sous ses mains prophétiques, le jersey révèle son moelleux, son confort, délie la silhouette et l’allure. De roturier, il devient noble. De rude, raffiné. D’utilitaire, luxueux. De masculin, féminin.