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La voiture la plus chère du monde

(EN text included) Conçue et réalisée entièrement sur mesure, la Rolls-Royce Droptail est la voiture la plus chère du monde.

Une voiture faite rien que pour soi… Un privilège insigne que l’on croyait disparu depuis l’époque des Figoni & Falaschi, Saoutchik, Gangloff et autres Letourneur. Plus près de nous, les marques les plus prestigieuses du monde ont développé des ateliers de personnalisation individuelle dont les productions entretiennent le rêve, la plus illustre entre toutes, Rolls-Royce, proposant un département bespoke auquel nous avons consacré un article exclusif dans notre dernier numéro. Avec lui nous pensions avoir rencontré l’expression ultime de l’exception automobile. Nous avions tort, et c’est encore Rolls-Royce qui nous en apporte la démonstration en présentant la Droptail, un roadster conçu et réalisé entièrement sur mesure, comme l’étaient les voitures les plus inoubliables des années 30.

Baptisé Coachbuild, ce département spécifique de Goodwood est, nous confie Torsten Müller-Ötvös, CEO de la marque, « un lieu sans limite ». Au-delà de la dimension punch line de l’expression, on traduira aucune limite technologique, créatrice ni… financière, évidemment. Ce dernier point apparaissant naturel lorsque l’on sait que la mise au point de la voiture présentée ici a mobilisé une équipe entière pendant pas moins de quatre ans. Chez Rolls-Royce on parle d’une « collaboration avec des clients souhaitant élever encore plus haut cette expérience remarquable et profondément personnelle, et dépasser le cadre des produits Rolls-Royce existants ». En langage clair : mettre ses ingénieurs, techniciens, créatifs et autres artisans les plus pointus, au service de clients à la recherche de l’expression la plus ultime du luxe automobile. Un service hors du commun puisqu’une une Rolls-Royce sortant du département bespoke de la manufacture, c’est déjà du très lourd.

Une création unique : carrosserie, calandre, toit amovible, sièges, tableau de bord : la Rolls-Royce Droptail a été entièrement réalisée sur mesure, en collaboration avec le client. Au centre : gros plan sur l’extraordinaire panneau de bois incurvé en forme de châle, qui sépare les passagers et les isole dans un cocon exclusif. Il est constitué de 1600 pièces de sycomore relevées de 533 pièces asymétriques représentant les pétales.

Cependant, si les clients des Rolls, Bugatti, Delahaye et autres Isotta Fraschini de l’entre-deux guerres commandaient à des artisans d’exception la carrosserie de leur voiture, bien que cette démarche ait totalement disparu avec l’industrialisation de l’après-guerre, Rolls-Royce l’a ressuscitée en 2017 avec l’extraordinaire coupé Sweptail (auquel nous avons consacré un article complet : lire Dandy n°66), caractérisé par la fluidité de ligne stupéfiante que lui conférait son toit intégralement vitré, puis renouvelée en 2021 avec la Boat Tail, tout aussi exclusive. Ainsi la Droptail présentée aujourd’hui est-elle la troisième Rolls-Royce conçue et réalisée de façon unitaire, sans partir d’un modèle de la gamme.

Le premier roadster Rolls-Royce depuis les années 30

Si dans le passé la maison a commis quelques autres merveilles entrant dans cette catégorie, comme la Silver Ghost Picadilly de 1924 et la Phantom Brewster 1929, avec le Droptail Rolls-Royce propose son premier roadster moderne. Pour les plus jeunes, rappelons qu’un roadster se distingue d’un cabriolet par son habitabilité limitée à deux places et l’absence de fenêtres latérales – et donc de cadres aux portières. Dans les années 50 l’industrie automobile a créé le concept de spider pour distinguer les voitures ouvertes dès leur conception, par opposition aux cabriolets, versions découvrables de coupés fermés : une catégorie dans laquelle on trouve de nombreux modèles à succès, comme les spiders Alfa Romeo et Fiat et la Porsche Boxster. Rien de tel chez Rolls-Royce, dont les Corniche et Dawn étaient de très statutaires cabriolets à quatre places – tout comme l’exceptionnelle Boat Tail, produite à trois exemplaires.

Avec la Droptail, l’institution britannique s’est donc attaquée à un nouveau challenge, dont la définition voulait qu’elle offrit un habitacle d’une intimité unique. Pour concevoir celui-ci, ingénieurs, décorateurs, ébénistes et artisans du cuir ont travaillé de concert pour développer un cocon protégeant derrière une ligne de caisse haut placée des passagers installés dans des sièges implémentés en position basse, dont la figure de style la plus remarquable est le panneau de bois incurvé en forme de châle, qui entoure le conducteur et son passager.

S’il est prévu de fabriquer quatre Droptail, le premier exemplaire, baptisé Rose Noire, se distingue également par la couleur de sa robe, créée elle aussi en sur mesure, et donc unique. Il s’agit d’une teinte grenade foncée obtenue en travaillant un ton rouge lustré sur une base noire profonde, qui reproduit au plus près les couleurs changeantes de la rose Black Baccara, variété à laquelle la mère de la famille commanditaire de la voiture voue une véritable passion. On précisera d’ailleurs ici que cette variété est synonyme d’amour fou et éternel. Elle fut créée en 2003 par la maison française Meilland International, seul obtenteur couronné par cinq titres de « Rose favorite du monde », plus haute distinction internationale attribuée à une rose décernée par la Fédération Mondiale des Sociétés de roses, qui regroupe 37 pays. Pour reproduire le chatoiement rouge et nacré de ses pétales, Rolls-Royce n’a pas mobilisé moins de 1600 pièces de placage de sycomore noir, chacune découpée, poncée et positionnée à la main, sur lesquelles 533 pièces asymétriques représentent les pétales (évidemment toutes peintes individuellement à la main). La seule formule de la laque fixant ce chef d’œuvre a nécessité plus d’un an de mise au point, afin de garantir dans le temps la pérennité de la palette de rouges d’une subtilité inouïe.

Empiècements de bois et de cuir, et patronages de quelques unes des plus de 2100 pièces de l’incroyable puzzle de marqueterie et de sellerie d’art qui constituent l’habitacle de la Droptail.

A côté de cette incroyable débauche d’efforts et de talents réunis pour parvenir à ce résultat unique, les autres spécificités de la Droptail paraissent presque simples, et pourtant… Comment qualifier le travail effectué sur les ailettes de la fameuse calandre Panthéon, pour la première fois pliées vers le haut du radiateur ; comment décrire le style unique du toit rigide amovible en fibre de carbone équipé d’un verre électrochrome modifiant à volonté la quantité de lumière qui pénètre dans l’habitacle ; comment appréhender les « capots de voile », ainsi nommés en raison de leur ressemblance avec les focs des voiliers de compétition, qui s’incurvent délicatement vers l’intérieur de la voiture derrière les sièges ; comment évoquer la référence au design nautique qui émane de toute la partie arrière de la voiture, force visuelle renforcée par un grand diffuseur arrière en fibre de carbone brute habillée d’une laque semi-transparente ?… Il est objectivement impossible de prétendre décrire la Droptail Rose Noire et il nous faut pour la présenter nous contenter de dire qu’il s’agit là d’une création dantesque, totalement hors du commun, qui marquera l’histoire de l’automobile comme quelques autres voitures cultes l’ont marquée avant elle.

Enfin nous ne pourrons pas satisfaire la curiosité de tous ceux, et ils seront nombreux, qui se demanderont le prix de l’auto, Rolls-Royce ne communiquant pas sur ce point tellement trivial. Il nous faudra donc nous contenter de rappeler le prix des Sweptail et Boat Tail, respectivement fabriquées à un et trois exemplaires en 2017 et 2021, et vendues 11,4 et 26 millions d’euros. Et aussi qu’à quoi bon connaitre celui de la Droptail, puisqu’après la Rose Noire présentée ici, les trois exemplaires à venir sont eux aussi d’ores et déjà vendus…

Les roadsters Rolls-Royce : une rareté

Durant toute sa longue histoire, Rolls-Royce n’a produit que très peu de roadsters. Avant la Droptail présentée aujourd’hui furent la Silver Ghost Picadilly en 1924, qui fut produite à deux exemplaires, la Phantom Brewster en 1929 (5 exemplaires), puis plus près de nous la Sweptail, exemplaire unique produit en 2017, et enfin la Boat Tail, produite à trois exemplaires en 2021.

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Designed and built entirely to order, the Rolls-Royce Droptail is the most expensive car in the world

A car made just for you… A privilege thought to have disappeared since the days of Figoni & Falaschi, Saoutchik, Gangloff and Letourneur. Closer to home, the world’s most prestigious brands have developed individual customisation workshops whose productions keep the dream alive. The most illustrious of them all, Rolls-Royce, has a bespoke department to which we devoted an exclusive article in our last issue. With him we thought we had met the ultimate expression of automotive exception. We were wrong, and it’s Rolls-Royce again that has demonstrated this by presenting the Droptail, a roadster designed and built entirely to measure, just like the most unforgettable cars of the 1930s.

Called Coachbuild, this specific department of Goodwood is, according to Torsten Müller-Ötvös, CEO of the brand, “a place without limits”. Beyond the punch line dimension of the expression, there are no technological, creative or… financial limits, of course. This last point comes naturally when you consider that the development of the car presented here took an entire team no less than four years. At Rolls-Royce, we’re talking about a “collaboration with customers who want to take this remarkable and deeply personal experience even further, and go beyond existing Rolls-Royce products”. In plain English: putting its engineers, technicians, designers and other highly skilled craftsmen at the service of customers looking for the ultimate expression of automotive luxury. Because when it comes to automotive luxury, a Rolls-Royce that comes out of the bespoke department of the Manufacture is already a heavyweight.

However, while the customers of Rolls, Bugatti, Delahaye and Isotta Fraschini in the inter-war period used to commission exceptional craftsmen to build the bodywork of their cars, although this approach disappeared completely with the industrialisation of the post-war period, Rolls-Royce resurrected it in 2017 with the extraordinary Sweptail coupé (to which we devoted a full article: read Dandy n°66), characterised by the astonishing fluidity of its lines conferred by its fully glazed roof, then renewed it in 2021 with the equally exclusive Boat Tail. The Droptail presented today is the third Rolls-Royce to be designed and built as a single unit, without using a model from the range.

The first Rolls-Royce roadster since the 1930s

While the company has produced a number of other marvels in this category in the past, such as the 1924 Silver Ghost Picadilly and the 1929 Phantom Brewster, the Droptail is Rolls-Royce’s first modern roadster. For the younger generation, the roadster differs from the cabriolet in that its interior space is limited to two seats and there are no side windows – and therefore no door frames. In the 1950s, the motor industry created the concept of spider to distinguish cars that were open from the outset, as opposed to cabriolets, which were open-top versions of closed coupés, a category in which many successful models can be found, such as the Alfa Romeo and Fiat spiders or the Porsche Boxster. Rolls-Royce, on the other hand, did nothing of the sort, with the Corniche and Dawn being highly statuesque four-seater convertibles – as was the exceptional Boat Tail, of which only three were produced.

With the Droptail, the British institution took on a new challenge, one that was defined as offering a uniquely intimate passenger compartment. To design the cabin, engineers, interior designers, cabinet-makers and leather craftsmen worked together to develop a cocoon that protects passengers behind a high beltline, with seats set in a low position. The most remarkable stylistic feature is the curved wooden panel in the shape of a shawl, which surrounds the driver and passenger.

While four Droptail models are planned, the first, named Rose Noire, also stands out for the colour of its dress, which is also made to measure and therefore unique. It’s a dark pomegranate shade obtained by working a glossy red tone on a deep black base, which reproduces as closely as possible the changing colours of the Black Baccara rose, a variety to which the mother of the family who commissioned the car has a real passion. This variety is synonymous with eternal love. It was created in 2003 by the French firm Meilland International, the only breeder to have been awarded the title of “World’s Favourite Rose” five times, the highest international distinction awarded to a rose by the World Federation of Rose Societies, which comprises 37 countries. To reproduce the red and pearly shimmer of its petals, Rolls-Royce used no fewer than 1,600 pieces of black sycamore veneer, each cut, sanded and positioned by hand, on which 533 asymmetrical pieces represent the petals (all individually hand-painted, of course). It took over a year just to formulate the lacquer that fixed this masterpiece, to ensure that the palette of incredibly subtle reds would last.

Aside from this incredible outpouring of effort and talent to achieve this unique result, the other specific features of the Droptail seem almost straightforward, and yet… How does one describe the work done on the fins of the famous Pantheon grille, which for the first time are bent towards the top of the radiator? How does one describe the unique style of the removable carbon-fibre hardtop fitted with electrochromic glass that changes the amount of light entering the cabin at will? How do you capture the ‘sail bonnets’, so named because of their resemblance to the jibs on racing yachts, which curve gently into the car behind the seats? How do you evoke the reference to nautical design that emanates from the entire rear of the car, a visual force reinforced by a large rear diffuser in raw carbon fibre dressed in a semi-transparent lacquer? … It is objectively impossible to describe the Droptail Rose Noire, and to present it we have to be content with saying that it is a Dantesque creation, totally out of the ordinary, which will mark the history of the motor car as some other cult cars have done before it.

Finally, we won’t be able to satisfy the curiosity of all those – and there will be many of them – who are wondering about the price of the car, as Rolls-Royce is not communicating on this trivial point. So we’ll have to content ourselves with recalling the price of the Sweptail and Boat Tail, of which one and three will be built in 2017 and 2021 respectively, and sold for €11.4 million and €26 million. And what’s the point of knowing the price of the Droptail, since after the Rose Noire presented here, the next three models have already been sold...

Rolls-Royce roadsters: a rarity

Throughout its long history, Rolls-Royce has produced very few roadsters. Before the Droptail presented today, there was the Silver Ghost Picadilly in 1924, which was produced in two examples, the Phantom Brewster in 1929 (5 examples), then more recently the Sweptail, a unique example produced in 2017, and finally the Boat Tail, produced in three examples in 2021.