xpornplease.com yespornplease porncuze.com porn800.me porn600.me tube300.me tube100.me watchfreepornsex.com

Gentleman Chemistry, après le média, les produits

Le garçon n’est pas un inconnu pour les membres de la blogosphère sartoriale : c’est en 2014 que Stéphane Buttice lance Gentleman Chemistry, pour lequel il va au fil des années visiter de nombreux ateliers d’artisans spécialisés en France, en Angleterre et surtout en Italie, pays natal de son père dont il parle parfaitement la langue. Une spécificité qui va lui permettre de faire la différence avec les blogs concurrents, le fait d’être parfaitement bilingue lui permettant de discuter sans aucun risque d’incompréhension des plus infimes subtilités de l’art tailleur dans les officines de Bielle, Milan, Florence, Rome, Naples et Palerme, et plus récemment de Calabre. Durant ces huit années, il découvre et visite pour ses lecteurs tailleurs, chemisiers, cravatiers et bottiers, mais aussi drapiers, un métier dont les supports spécialisés parlent moins mais dont l’amateur averti sait l’importance, et peaufine une culture désormais riche et étayée. Une collaboration avec Holland & Sherry lui permet, de 2016 à 2019, d’ajouter à cette culture du produit et de sa façon une connaissance de l’amont de celui-ci : celui des coulisses du marché des tissus – qui fournit qui, quelles maisons ont accès aux meilleurs produits, en fonction de quels critères (taille de l’entreprise, représentativité, image, qualité de la clientèle…) : une expérience qui lui apporte une vision globale du métier. Enfin la création du podcast Gentleman Chemistry en août 2019 lui permet d’ajouter une dimension supplémentaire à son média, sur lequel il rencontre les « personnalités qui créent de la valeur avec style » (sic).

Aujourd’hui la somme de toutes ces expériences amène Stéphane Buttice à franchir le Rubicon en lançant sa propre marque de vêtements, des chemises et des cravates pour commencer. Une entreprise encore très confidentielle puisque lancée en pleine période de restrictions sanitaires planétaires, autour d’une dizaine de modèles de l’un et de l’autre, mais avec une approche de vrai produit haut de gamme dans le sourcing des tissus et de la fabrication, et dans la personnalisation de la relation avec le client.

Fabriquées à Naples, les chemises portent la marque des ateliers de la région : boutons en nacre MOP, coutures de boutons zampa di galina, dernière boutonnière horizontale pour mieux répartir la tension du bas de la chemise, hirondelles de renfort ; nous avons clairement affaire à des chemises qu’apprécieront les connaisseurs parce qu’elles cochent toutes les cases représentatives d’une fabrication de qualité. On observe une dizaine de tissus mélangés coton et lin (des chemises d’été donc), provenant de chez Grandi & Rubinelli et Soktas. Le premier est purement italien, et si le second fabrique en Turquie ses tissus n’ont pas à rougir de la comparaison avec ceux de la plupart des tisseurs européens. Notre préférence va aux étoffes présentant un joli travail d’armure (voir pages précédentes), mais tous les goûts étant dans la nature d’autres que nous préfèreront des tissus imprimés, l’important étant que la marque propose les deux.

Normale sur une chemise sport, le choix de l’implémentation d’une poche procède cependant ici d’une démarche typiquement intuitu personae qu’il nous a paru légitime de laisser ici expliciter par Stéphane Buttice lui-même : « Parce qu’une poche c’est pratique,

et que les élégants italiens la portent. Lorsque j’étais jeune et que les copains très élégants de mon père venaient nous voir en plein été, ils portaient des chemises comme cela, avec les Persol dans la poche. Et c’est aussi une chemise qu’ils pouvaient garder pour aller au restaurant le soir, avec ou sans cravate. Pour ma part je la porte même en plein été pour faire du bateau : quand je n’ai pas de veste j’ai besoin d’avoir une poche, pour mettre mes papiers et mes lunettes de soleil. Ou alors même avec un bermuda et une veste. Et sans baleines parce que j’aime bien que les pointes de col roulottent, qu’elles ne soient pas figées. En fait cela américanise une chemise très classique. » Pour faire patronner ses modèles, il est parti de la base d’une chemise mesure dans laquelle il se sentait particulièrement à son aise, et qu’il portait indifféremment avec et sans cravate.

« L’idée étant de proposer des basiques, j’ai commencé par les chemises et les cravates avec l’intention de m’étendre ultérieurement aux vestes et aux accessoires, toujours avec un grade de qualité élevé et toujours en fabriquant à Naples avec de beaux tissus, et non des fins de rouleaux que l’on me refourgue à l’atelier. Le problème est que beaucoup de gens achètent un produit sans savoir ce qu’il y a dedans, beaucoup n’étant pas capables de faire la différence entre une nacre australienne blanche et un trocas. Mais parce qu’elles s’adressent aux amateurs, mes chemises présentent la somme des détails qu’ils recherchent : boutonnières main parce que c’est quand même très beau pour un connaisseur, dernière boutonnière horizontale et hirondelles de renfort. Les passages à la main c’est juste de l’anoblissement : c’est une forme de snobisme à l’italienne. L’important au bout du compte, c’est que ce sont des chemises qui vont vraiment avec tout. »

https://www.butticeparisnaples.com/

______________________________

After the media, the products

The boy is no stranger to members of the sartorial blogosphere: it was in 2014 that Stéphane Buttice launched Gentleman Chemistry, for which he has visited numerous specialist craftsmen’s workshops in France, England and above all in Italy, his father’s native country, whose language he speaks perfectly. This specificity will allow him to make the difference with competing blogs, the fact of being perfectly bilingual allowing him to discuss without any risk of misunderstanding the most minute subtleties of the tailor’s art in the workshops of Bielle, Milan, Florence, Rome, Naples and Palermo, and more recently in Calabria. During these eight years, he discovered and visited for his readers tailors, blazers, bootmakers and drapers, a trade that is less well known in the specialist media but whose importance is well known to the informed amateur, and he refined a rich and well-founded culture. A collaboration with Holland & Sherry enabled him, from 2016 to 2019, to add to this culture of the product and its way a knowledge of the upstream of it: that of the backstage of the fabric market – who supplies whom, which houses have access to the best products, according to which criteria (size of the company, representativeness, image, quality of the clientele…): an experience which brings him a global vision of the trade. Finally, the creation of the Gentleman Chemistry podcast in August 2019 allows him to add an extra dimension to his media, on which he meets the “personalities who create value with style” (sic).

Today, the sum of all these experiences has led Stéphane Buttice to cross the Rubicon by launching his own clothing brand, shirts and ties to start with. A company that is still very confidential since it was launched in the middle of a period of global health restrictions, with a dozen or so models of both, but with a real top-of-the-range product approach in the sourcing of fabrics and manufacturing, and in the personalisation of the relationship with the customer.

Made in Naples, the shirts bear the hallmarks of the region’s workshops: MOP mother-of-pearl buttons, zampa di galina button seams, a final horizontal buttonhole to better distribute the tension of the bottom of the shirt, reinforcing swallows; we are clearly dealing with shirts that connoisseurs will appreciate because they tick all the boxes representative of quality manufacturing. There are a dozen or so cotton and linen blends (summer shirts, that is) from Grandi & Rubinelli and Soktas. The former is purely Italian, and while the latter manufactures in Turkey its fabrics are not to be compared with those of most European weavers. Our preference is for fabrics with a nice weave (see previous pages), but all tastes being in the nature others than us will prefer printed fabrics, the important being that the brand offers both.

Normal on a sport shirt, the choice of implementing a pocket is however a typically intuitu personae approach that we thought it was legitimate to let Stéphane Buttice himself explain here: “Because a pocket is practical, and elegant Italians wear them. When I was young and my father’s very elegant friends came to visit us in the middle of summer, they wore shirts like that, with the Persol in the pocket. And it’s also a shirt they could keep for going to restaurants in the evening, with or without a tie. I even wear it in the middle of summer for boating: when I don’t have a jacket I need to have a pocket, to put my papers and sunglasses in. Or even with Bermuda shorts and a jacket. And without whalebones because I like the collar tips to roll up, not to be fixed. In fact, it Americanises a very classic shirt.” In order to have his designs patterned, he started from the basis of a shirt that he felt particularly comfortable in, and that he wore with or without a tie.

“The idea was to offer basics, so I started with shirts and ties, with the intention of expanding later to jackets and accessories, always with a high quality grade and always in the same style.

always with a high quality grade and always making in Naples with beautiful fabrics, not the end of rolls that I get in the workshop. The problem is that many people buy a product without knowing what’s inside, many not being able to tell the difference between a white Australian mother of pearl and a trocas. But because they are aimed at amateurs, my shirts have all the details they are looking for: hand buttonholes because they are still very beautiful for a connoisseur, the last horizontal buttonhole and reinforcement swallows. Hand-cutting is just ennobling: it’s a form of Italian snobbery. The important thing at the end of the day is that these are shirts that really go with everything.”

https://www.butticeparisnaples.com/