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Ces les chaussures pas comme les autres

1-Patines et même authentiques tatouages

Parlez de couleurs et de façon à un amateur de belles chaussures, il vous répondra patine, glaçage et transparences. Un petit peu le B.A.BA de la spécialité, même si l’art reste délicat. Des milliers de shoe freaks entourent leurs souliers d’attentions maniaques et ne confieraient à personne la réalisation de leurs patines et glaçages, qui font souvent l’objet d’un véritable cérémonial. Alors que le glaçage (qui consiste à donner un effet miroir au bout de la chaussure) est bien connu des élégants du monde entier depuis près d’un siècle, c’est à Berluti que l’on doit l’émergence des patines (jeux de couleurs sur les chaussures) depuis une quinzaine d’années. De nombreuses marques s’étant approprié cet art d’esthète (et le pratiquant pour certaines avec un talent remarquable), il devient de plus en plus difficile d’étonner les amateurs avertis.
Un artisan suscite cependant aujourd’hui leur intérêt en effectuant à la demande d’authentiques tatouages sur les chaussures – ou tout autre objet de cuir, du canapé au tapis en passant par les pièces de décoration – de ses clients. Le tableau réalisé sur cette paire de derbys représente une étoffe à motifs cachemire révélée à travers une déchirure dans le cuir des tiges. Il est réalisé selon la technique du tatouage indonésien, consistant à ouvrir dans la peau des sillons très fins (0,1 à 0,2 mm) qui seront délicatement encrés. Une technique longue et exigeante qui fait de chaque paire une petite œuvre d’art unique.

2-Hollywood à nos pieds

C’est tout l’esprit de Mort sur le Nil que Marc Guyot met à nos pieds avec cette nouvelle version de son modèle culte Niven. Ce richelieu bout golf fleuri monté sur une très élégante forme allongée, était jusqu’à présent proposé en white nubuck et renvoyait les amateurs aux belles images des Gatsby le magnifique et autres Sur la route de Nairobi. Le modèle – dont le nom est un hommage à l’acteur britannique, qui était un parangon d’élégance – est aujourd’hui disponible également en cuir grené nubucké blanc, tout aussi séduisant que son aîné. Un vrai modèle de dandy, vendu 550 euros.

3-Haut de gamme

Le problème, avec la majorité des mocassins d’été, est que leur destination incite les fabricants à une fabrication moins attentive que celle qu’ils réservent à leurs modèles destinés à une utilisation plus durable. Et ceux qui veulent un beau mocassin d’été, fabriqué avec le même soin que leur richelieu ? Ils peuvent aujourd’hui passer chez Vaneau, où ils découvriront ce loafer à plateau cousu monté sur une forme à bout carré pincée et tournante. En veau-velours bleu marine et marron, 295 euros.

4-Il revisite la basket

Gérard Sené s’est toujours distingué par ses créations, souvent audacieuses et quelquefois carrément allumées. Toute la question étant de savoir dans quelle catégorie ranger cette basket zippée sur l’arrière. « Ca évite le laçage. On a tous la flemme de lacer et délacer nos chaussures, et surtout les baskets, qui ont huit ou neuf œillets, précise Sené. Et puis, dans un avion, tu te déchausses plus facilement et tu peux te déplacer tout en ayant le pied libre ». Le modèle, qui donne lieu à une véritable collection, est décliné en cuir classique ou vieilli, en vernis, en croco, en noir, en gris, en rouge, en bleu…

5-Elégance absolue

Depuis qu’il a conquis sa place parmi les chaussures de ville – par opposition aux chaussures habillées, réservées au seul usage vespéral – le cuir vernis s’est beaucoup vulgarisé, et étend aujourd’hui son territoire à une grande variété de modèles, très sport pour certains. A tel point que les modèles vraiment élégants deviennent plus rares. Aussi ne peut-on qu’admirer cet escarpin d’une grande pureté de ligne, signé Vaneau. Un summum d’élégance qui a de plus le bon goût de s’afficher à un tarif serré, comme pour justifier une utilisation rare (275 euros).

6-Docksides en édition limitée

Qui l’eut cru ? Chaussure grand public par excellence, la Docksides nous refait le coup de l’édition limitée. Le succès de celle développée pour Colette (Paris) et Vane (New-York) a incité la marque à lancer la Limited Edition 1946, en cuir vernis, pour commémorer les 40 ans du modèle. Attention : il n’y en a que 8 paires par boutique !

7-Peaux calligraphiées pour la car shoe Berluti

Qu’il soit en veau-velours ou en cuir Venezia, l’Indio 2 arbore une tige partiellement calligraphiée. « Partiellement », car le modèle se caractérise par son asymétrie, tant dans le fond que dans la forme – entendez par sa forme à monter et son patronage. Ainsi si le plateau et le flanc intérieur arborent la fameuse calligraphie maison « Scritto », l’extérieur est en cuir lisse. Selon les standards du genre, des patins de gomme protègent le talon et la semelle, ils distinguent le soulier en arborant le sceau Berluti aussi sûrement que les échappements signent l’arrière d’une Ferrari 458. En cuir et veau-velours, 900 et 760 euros.

8-Pièces rares

Définitivement dolce vita, l’idée de l’Italien Alberto Moretti de relever ses mocassins d’été, en veau-velours bleu, marron ou pourpre, d’authentiques pierres précieuses, et pour couronner le tout de diffuser sa collection de façon confidentielle à travers un petit réseau de boutiques, comme cela se pratique en haute horlogerie. Ainsi ne trouve-t-on les modèles pourvus d’améthystes pourpres que dans la boutique Arfango d’Ibiza, ceux relevés de topaze bleue dans celle de Capri… Pas de surprise à ce que le catalogue suive le circuit des lieux de villégiature de la jet set : Moretti a dédié le modèle à Lapo Elkann, l’une des figures de proue de ce microcosme et un de ses amis intimes.

9-Classique et confortable

Le modèle présente l’avantage de concilier une silhouette classique et urbaine, et un montage léger sur semelle gomme, qui garantit un confort d’utilisation élevé.

Résultat des courses : un derby empeigne unie moderne et élégant, souple et léger au pied,  qui ne fatigue pas même au terme d’une journée de travail. Disponible en beige et en bleu marine, Finsbury, 149 euros.

10-Du Moulin Rouge à la rue

Bien qu’il ait 65 ans, son nom est encore peu connu. Il faut dire que jusqu’ici, le bottier de la Butte Montmartre travaillait presque exclusivement pour les grands cabarets parisiens : Moulin Rouge, Lido, Crazy Horse, dont il chausse les danseuses depuis les années 60. Récemment racheté par deux jeunes bottiers issus du compagnonnage, Clairvoy vient de développer ses premiers modèles grand public. Trois formes à monter, une douzaine de modèles et une culture bottier flagrante, pour associer deux images trop souvent considérées comme opposées : mesure et modernité. La boutique de la rue Fontaine s’impose comme l’une des adresses incontournables de la botterie parisienne.

11-Espadrilles de luxe

Emling pourrait bien avoir trouvé l’exacte bonne mesure entre l’espadrille de toile traditionnelle et les modèles de créateurs, plus originaux mais plus coûteux. En remplaçant la toile de coton par du veau-velours, la maison parisienne habille la plus décontractée des chaussures d’une touche plus luxueuse. Pour autant, le modèle reste très décontracté et économique. En bleu lavande, vert amande et marrons moyen et foncé, 60 euros.

12-Made in France

Elles sont entièrement conçues et fabriquées en France, elles sont sympas et bon marché. Autant de raisons de craquer devant les premières car shoes Hardrige, disponibles en veau-velours mandarine et bleu lavande.