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Ces belles Italiennes qui nous font craquer

Il y a eu la Topolino (Fiat 500 de notre côté des Alpes), la Daytona, la Miura, la Ghibli : autant de voitures qui ont marqué l’histoire de l’automobile en même temps que celle de l’industrie italienne. Des voitures culte, représentatives d’un esprit plus porté sur la flamboyance, le charme et la fantaisie, que sur la rigueur. Car il est tout aussi vrai que jusqu’à une période (très) récente, les belles Italiennes ne brillaient ni par la qualité de leurs finitions, ni par leur fiabilité. La donne a changé

Sculpteurs de rêves

Bertone, Giugiaro, Pininfarina, Zagato : des carrossiers uniques au monde. Aucune autre nation que l’Italie n’a enfanté de tels artistes du style automobile. Carabo, Marzal, TZ2 : l’inspiration et le caractère de leurs créations n’ont rien à envier aux œuvres des sculpteurs sur pierre ou argile. Eux sculptent les carrosseries, et nos rêves.

Alfa TZ Zagato: ressuciter une légende

Le plus récent de leurs chefs d’œuvre est signé Zagato. Il s’agit de la réinterprétation de l’Alfa Romeo TZ (pour Tubolare Zagato) de 1963. Cette étude, qui apparaît à l’heure où le groupe Fiat a pris une participation significative chez l’Américain Chrysler, utilise la base d’une Dodge Viper, châssis en fibre de carbone et V10 inclus. Bien joué, Callaghan !

De l’éprouvé, de l’explosif aussi. Côté style, Zagato a choisi le néo-rétro et a fort bien fait, puisque le studio milanais nous livre ici un véritable chef d’œuvre. Unique pour l’instant. Mais Jaguar disait la même chose de sa C-X75 il y a six mois, dont on sait aujourd’hui qu’elle entrera en production l’année prochaine…

Fiat 500 Abarth : enfin en automatique 

Small étant beautiful, commençons notre tour d’horizon par la plus petite de toutes : la Fiat 500. Un mythe que la marque italienne a ressuscité avec autant de talent que d’inspiration, puisque le modèle a restauré sa santé financière. En conservant sa ligne générale mais aussi l’esprit sixties de son tableau de bord, Turin propose une voiture sympathique, économique, compacte, et désormais fiable. Autrement dit le modèle a tout pour lui. Pas tout à fait, répliqueront les plus difficiles : il lui manque un peu de nerf. Une lacune comblée par l’Abarth. Avec 140 ch sous le capot, le « pot de yaourt » assure côté performances. Alors, parfaite, la 500 Abarth ? Pas encore tout à fait, jusqu’à une date récente, car dépourvue de la boîte automatique indispensable à une petite citadine bien née. « Pas au programme » nous avait-on expliqué au lancement du modèle. Mais il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis (les dirigeants de Citroën feraient bien de s’en inspirer avec la DS3), et voici la 500 Abarth pourvue d’une boîte robotisée. Parfaite, cette fois-ci ? Quasiment. 

Il y a d’abord sa bouille irrésistible. Bien campée sur ses jolies roues 17 pouces et dotée de divers éléments distinctifs (spoiler, double sortie d’échappement, marquages Abarth…), la voiture a une vraie allure. A l’intérieur les sièges baquets sont superbes, comme le volant tronqué en bas façon voiture de course. Excellent. Mieux que la finition de la planche de bord, toute en plastique, mais, bon : on n’est pas dans une Jaguar non plus…

Il y a ensuite son caractère. Très différent de celui d’une 500 de base. Amusant, tant en ville que sur la route. L’Abarth est collée par terre, vire comme un kart et accélère gentiment. Les 140 ch pour 1260 kg  lui permettent une vivacité agréable. Et la boîte robotisée Abarth Competizione serait un bonheur sans un réducteur de couple beaucoup trop présent à chaque montée de rapport. A donner mal au cœur aux passagers tant la voiture marque le pas à chaque passage. On essaie la position sport en espérant un mieux, mais non : l’effondrement est là à chaque fois. C’est d’autant plus regrettable que les rétrogradages sont au contraire parfaitement lissés, et que les palettes au volant participent du plaisir d’utilisation.

Pour le reste, c’est tout bon. Si le confort n’est pas celui d’une berline de luxe et si le volant non réglable en profondeur reste trop loin des mains, la 500 Abarth est un bonheur de petite citadine, pratique en ville et amusante dès qu’on la pousse un peu. On apprécie aussi l’assistance de direction, légère en ville et plus directe, consistante et précise, lorsque l’on accélère le rythme : excellent. Autre bonne surprise sur notre version cabriolet : l’insonorisation de la capote, remarquable.

Ajoutez à cela le bruit rauque de l’échappement, la consommation mesurée (comptez 7 litres en moyenne) et vous obtenez au bout du compte une reine des villes qui ne demande qu’à se dévergonder. Sans la rédhibitoire réduction de couple à la montée des rapports, l’enfant prodige décrochait un 20/20. Il se contentera de 19. Allez, ingeniere : encore un tout petit effort…

En deux mots : 1368 cm3 + turbo, 140 ch/5000 trs, 206 Nm/2000 trs, consos : 5,4-6,5-8,5 l/100km, vit. max. 205 km/h, 21.200 euros.

En série : BVA 5 robotisée avec palettes au volant, volant et sièges intégraux Abarth, bluetooth, CD MP3, climatisation auto, 7 airbags, jupes latérales, double sortie échap., jantes alliage 16 »… Options : jantes 17 », peinture bicolore, étriers de freins rouges…

 

Alfa Romeo 4C : le pavé dans la mare

C’est celle que l’on n’attendait pas. Et surtout celle que les autres marques auraient souhaité ne jamais voir arriver. Seulement voilà : elle arrive. Annoncée en concessions fin 2012, la 4C va affoler les amateurs et contrarier la concurrence. Il faut dire que le cocktail est explosif : mélangez une base mécanique de grande série avec une carrosserie très exclusive, secouez et servez le tout à un prix au prix d’une boisson ordinaire. Notez, la recette a déjà été employée en automobile. Et deux fois par le même homme : Sir William Lyon, avec les Jaguar XK120 puis Type E. Carton plein à chaque fois. Alfa Romeo reprend donc à son compte une formule finalement éprouvée. Le piquant de la 4C réside dans deux chiffres : son rapport poids/puissance et son prix. Le premier ne sera pas supérieur à 4 kg/ch, ce qui imposera de pousser d’autant plus le turbo du moteur de la Giulietta QV que le poids excèdera la tonne. Et pour contenir le poids près de celle-ci, le châssis sera en carbone et la carrosserie composite. Le second n’excèdera pas 45.000 euros. Pour fixer les idées, il faut en dépenser66.200 chez Porsche pour flirter avec ce même rapport poids/puissance (Boxster 3.4).

Alfa Romeo Giulietta QV : la voiture d’Uma

Il y a d’abord sa ligne. Plutôt séduisante, comme celle de son égérie. Compacvte et néanmoins élégante. Surtout d’arrière, une qualité rare pour une voiture. Vous avez remarqué comme à quelques exceptions près les arrières des voitures ne sont jamais aussi beaux que leurs avants ? Or l’arrière de la Giulietta est aussi plaisant que son nez, un bon point donc. Un autre : si elle reste loin des standards allemands, la finition intérieure a manifestement progressé. Mais la planche de bord reste affublée de des plastiques durs qui gagneraient à être remplacés par un beau thermomoussé. On apprécie en revanche les finitions raffinées – notamment la finition laque sur les contre-portes – typiquement italiennes. On aime aussi les sièges noirs surpiqués de rouge. On les apprécie hélas beaucoup moins en s’y installant si l’on mesure plus d’1,80 m : jambes trop haut, on y est irrémédiablement mal installé.

Les Italiens ont toujours été de brillants motoristes, ils le prouvent une nouvelle fois avec ce bloc sans prétention mais fort bien travaillé sur lequel l’injection directe, la suralimentation et le double variateur de phase suppriment le temps de réponse et abaissent la valeur de couple maxi jusqu’à 1900 trs. Des valeurs qui annoncent un moteur agréable à vivre au quotidien, et de bonnes performances : la voiture accroche ainsi 242 km/h et tombe le 0 à 100 en 6,8 secondes. Avec un McPherson à l’avant et un essieu multi-bras à l’arrière, les liaisons au sol se montrent à la hauteur des performances du moteur, concédant peu de roulis et ménageant un confort de bon niveau. Enfin, les consommations restent contenues, la voiture s’étant contentée de 8,5 sur l’ensemble de notre essai.

En deux mots : 1368 cm3 + turbo, 200 ch/2000 trs, 340 Nm/1900 trs, conso moy. : 8,5 l/100 km, vit. maxi 242 km/h, 32.500 euros

Le retour de Lancia dans le luxe

Le mariage Fiat-Chrysler va permettre à Lancia de proposer de nouveau dès la rentrée un navire amiral digne de l’histoire de la marque. Celle-ci revisitera pour cela la 300C américaine, qui avait tout pour plaire sauf ses finitions intérieures. Habitacle redessiné, tableau de bord entièrement habillé de cuir, équipement très complet : sous l’étendard italien la grosse berline trouve enfin le raffinement qui lui faisait défaut. On espère simplement que la marque aura la bonne idée de conserver un moteur essence au catalogue au lieu de tomber dans la dieselomania qui frappe les constructeurs français. Le retour de la 8.32 ?…