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Ce qu’il faut savoir pour bien choisir une veste

Droite ou croisée, à deux ou trois boutons, une fente dos ou deux ? Quelle longueur pour les manches ? Leurs boutonnières doivent elles impérativement être ouvertes ? Vaut il mieux une emmanchure réduite ou généreuse ? Autant de questions que le néophyte se pose, et auxquelles certains vendeurs peu scrupuleux répondent plus en fonction de leur stock et de leurs marges que des règles de l’art. La veste croisée a toujours fait plus habillé que sa cousine à coupe droite, ne serait-ce que parce qu’elle ne tolère pas d’être portée ouverte. A quatre ou six boutons, une veste croisée se porte fermée, point. Cette contrainte a suffi, à une époque où le style détendu règne en maître, à réduire notablement sa diffusion. Lorsque l'on saura qu elle est de plus mieux appropriée à une morphologie mince, on comprendra mieux encore sa relative discrétion dans nos rues. Hier obligatoirement accessoirisée d une cravate, elle supporte aujourd’hui d’être portée sur une chemise ouverte, à condition que celle ci soit classique, de couleur neutre et dotée d'un col assez généreusement dimensionné, 7 cm au minimum. Comme pour la veste droite, on lui préfèrera deux fentes dos à une seule, mais un modèle sans fente fera aussi très élégant. Dans un cas comme dans l'autre, la coupe croisée s'accommode beaucoup mieux de la station debout qu'assis, et convient donc mieux aux cocktails et autres cérémonies qu’à un déjeuner de travail.

La coupe : une affaire de goût…et de mode

Dès l’instant où l’on opte pour une coupe droite se pose la question du nombre de boutons. Un, deux, trois, quatre ? Ce point particulier reste définitivement affaire de mode, et elle est cet hiver à un ou deux boutons, le « deux en trois » cher aux tailleurs napolitains (le bouton du haut se trouvant replié sous le bas du revers) restant acceptable. La seconde question concerne le nombre de fentes dos, et les élégants choisiront sans hésitation une coupe à deux fentes, de préférences longues, 30 cm constituant l'idéal pour une silhouette vraiment dandy tandis que des fentes entre 22 et 24 dessinent une veste plus passe-partout. Les fentes courtes, d’une vingtaine de centimètres ou moins, sont à proscrire. Accessoirement, la coupe à deux fentes permet de mettre les mains dans les poches même si le geste n’est pas d un raffinement exceptionnel sans dégrader la silhouette. Moins élégante et moins confortable à l'usage, la coupe à une fente est née en Angleterre où les vestes de tweed furent les premières à l'adopter avant que les tissus plus fins ne s'en emparent. Conçue initialement pour les vestes d'uniforme d'apparat de la Marine américaine, la coupe sans fente dorsale souligne l'élégance d'une coupe très ajustée mais n'est pas la plus confortable à l'usage. Un troisième point mérite l’attention quoi que le Prêt-à-porter ne permette pas sa correction : le Drop.

Proportion entre la taille des épaules et celle du bassin, elle est déterminante pour la silhouette générale de la veste. En règle générale, la confection a adopté le drop 7, qui correspond à un corps mince, les retoucheurs maison ayant à composer avec la morphologie du client en adaptant taille et col. Certaines vestes plus typées utilisent le drop 8, plus fité, les modèles les plus extrêmes comme ceux des collections Slimane pour Dior il y a quelques années montant jusqu au drop 10 qui nécessitait une silhouette longiligne et en interdisait l'accès à la majorité des hommes. La mesure s’affranchit évidemment de cette contrainte en dessinant le vêtement pour son utilisateur, permettant à tous ceux qui accusent un certain embonpoint de bénéficier de drops 4 ou 5 qui minoreront visuellement leur tour de ventre. Le type d’épaule est également déterminant dans la ligne générale de la veste, et l’on distingue ici deux grandes écoles : celle des partisans de l'épaule structurée, qui renforcent celle ci en lui donnant beaucoup de padding (rembourrage intérieur), et celle des inconditionnels de l'épaule napolitaine, plus tombante. Plus valorisante pour la silhouette, la première est de loin la plus répandue, et représentée par toutes les grandes maisons de couture françaises, italiennes et anglaises. La seconde se prévaut d'un type de montage plus raffiné (on identifie l'épaule napolitaine au léger fronçage marquant les têtes de manches, dû à la répartition manuelle de l'embut lors du montage) et d'une épaule plus naturelle. Elle est la marque de deux maisons parmi les plus prestigieuses qui soient : Kiton et St. Andrew.